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Pensées.

Mercredi 29 octobre 2014 à 19:44

No more thoughts 
Juste nous en voiture, la nuit, et cette musique

 
Ces moments où l'on se retrouve, on roule de nuit et je regarde par la fenêtre. La musique nous envahit, j'ai des frissons, j'aime cet instant. Surtout j'aime les avoir retrouver, je ne pensais pas qu'elles m'avaient tant manqué. Tout faire ensemble.
OUF je suis en train de l'oublier. Et aussi j'arrête de fumer, je commence le sport.

 

Dimanche 19 octobre 2014 à 17:40

Milan me manque. Il Duomo, l'aperitivo, i navigli, lo spritz... Ce moment où je me retrouvais dans le tramway et je pensais Sono felice. Cette nuit on a dormi tout les deux, moi je veux toujours de toi seulement comme ami et puis je pensais à lui. Je n'arrivais pas à dormir. Mais on a dormi dans les bras l'un de l'autre et j'imaginais qu'à ta place je posais ma tête sur son torse à lui. Je me faisais mal de m'imaginer toute ces images, même. Un dimanche nostalgique donc, rien de plus normal. Je donnerais tant pour être à Milan maintenant.

Mercredi 8 octobre 2014 à 23:02

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Il fait l'amour un peu comme L., j'en suis heureuse. Plutôt que de l'amour, du sexe. Je n'ai aucun sentiment pour ce joli allemand, aucune empathie - rien. Il ne me fait aucun effet, mais j'aime ce côté autoritaire. La seule différence est que je n'aurais jamais résisté avec L. J'avais constamment envie de lui et je le trouvais beau. Je voulais rester là, caresser son visage et le regarder. Il me disait toutes les dix minutes "Mais comme tu es belle". J'étais gênée mais heureuse. Et puis j'aimais lui faire plaisir, je n'avais besoin que de ça. Bref. Je suis moins obsédée, je ne regarde plus son profil toutes les demi-heures. Cette rencontre (donc) purement physique m'a fait du bien, c'est facile. Pas besoin de se parler, pas besoin de ces sentiments à la con. Je pense à Milan aussi. Je me suis décidée pour Paris je crois, mais j'ai peur de passer à côté. Je sais que je suis heureuse en Italie, mais même si j'y vais seule? Pour arriver à la dernière question: où est-ce que je veux faire ma vie

Dimanche 5 octobre 2014 à 22:39

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Il va falloir forcer un peu les choses. Je vais le remplacer, et puis ça finira par marcher. Il faut arrêter de me torturer de cette façon, la douleur devient physique dans ces moments la. Parfois j'ai l'impression d'avancer et finalement je me rends compte que rien n'a encore changé. Un mois et cinq jours sont passés depuis que je suis revenue. Et ce week-end, après ce même temps sans un mot, il voulait de mes nouvelles. C'est une mauvaise idée, je ne veux plus y penser. Ça me paraissait ridicule ces banalités quand en réalité je n'ai fait que penser à lui. J'ai hésité à lui dire, le rendre mal à l'aise, et puis non. Sinon belle soirée, à parler italien, anglais, allemand (allemand d'ailleurs, qui sera la distraction).

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