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Pensées.

Mercredi 17 novembre 2010 à 19:05

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Les objectifs, aussi bêtes soient-ils sont importants. Je m'en rend compte maintenant que j'en ai un, même s'il est complétement inutile. Quelque chose qui fera se lever le matin, qui fera que l'on a même envie d'aller travailler. Les choses vont plus ou moins bien. Je m'enfonce de plus en plus dans les langues, et j'aime les apprendre. Je pense que j'ai de la chance de faire ce que j'avais rêvé de faire, et échouer à ce rêve me ferait mal. Je savoure les quelques moments ou je suis seule chez moi à réécouter ces vieilles chansons qui me serrent le cœur. C'est comme regarder les vieilles photos, l'impression de revivre l'état dans lequel on était. Mon anniversaire approche, j'ai l'impression que je serais enfin libre. Il pense souvent à moi, il dit qu'il m'aime encore. Mais moi je ne l'ai jamais aimé. Il me manque, et j'ai aussi envie de le voir. Un message de ma meilleure amie m'a fait du bien.Et puis oui, j'aime toujours vraiment la fac.

Dimanche 7 novembre 2010 à 23:07

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Ce regard envieux me manque.Être désirable, se sentir désirée, juste sentir ce regard, c'est l'un des plus beaux sentiments je crois. Qu'il y'ait des sentiments ou non, autres chose que du désir ou pas, juste sentir par le regard, la bouche, la manière d'être. Et j'avouerais que pour le moment je ne l'imagine avec personne d'autre, même si justement les sentiments ne sont pas amoureux. C'est pourquoi on se reverra. Juste sans conséquences et sans sentiments, ce qu'il me faut. Les semaines à la fac défilent, et enfin, enfin je peux me dire majeure dans quelques jours. La première différence: profiter des soirées étudiantes. J'ai besoin de rencontrer encore. Les filles me déçoivent, il y a toujours eu cette partie que je n'aimais pas. Je les trouve enfantines dans leur relation, et exclure M., ça me fait mal. Peut être parce que je la comprend un peu, mais surtout parce que je tiens à elle. Je ne suis pas comme elles, à dire et crier qu'elles s'aiment pour finalement oublier. Je réalise que j'ai bien fait d'apprendre à  être à la fois proche et loin de ça. Ne profiter que du bon. L'avantage maintenant, c'est que je soutiens qui je veux, je fais ce que je veux, elles ne m'en voudront pas autant que si c'était une autre, et je serais toujours présente. Quoique je fasse concrètement, je sais bien au fond pour qui je compte et en qui j'ai confiance. Et parmi elles, il n'y en a que deux.

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